La violence des élections partielles était le grand plan du NPP pour les élections de 2020 - General Mosquito
- Le général Mosquito du NDC a révélé comment le NPP avait l'intention de capitaliser sur la violence qui a secoué l'élection d'Ayawaso West Wuogon pour un gain électoral
- Selon lui, le NPP a l'intention de déchaîner la violence sur les Ghanéens afin qu'ils puissent capitaliser sur la peur et faire ce qu'ils veulent
- Le général Mosquito a passé les commentaires lors de la manifestation 'Aagbe Wor' qui s'est tenue à Accra le jeudi 7 février 2019
Le secrétaire général du National Democratic Congress (NDC), Johnson Asiedu Nketia, a révélé comment le Nouveau Parti patriotique (NPP) entend remporter les élections de 2020.
Selon un rapport de Starrfmonline.com, Nketia, également connu sous le nom de général Mosquito, a ajouté que le NPP avait l'intention d'utiliser la violence qui a secoué l'élection partielle récemment tenue à Ayawaso West Wuogon.
Interagissant avec les personnes présentes à la manifestation 'Aagbe Wor' du jeudi 7 février 2019, il a expliqué que la violence faisait partie de la promesse de campagne du NPP.

Source : UGC
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'Ils mettent en œuvre leur promesse de campagne et cette promesse de campagne est de déchaîner la violence et, par la violence, d'intimider tout le monde, pour qu'ils s'imposent aux Ghanéens et fassent ce qu'ils veulent', il a dit.
Il a poursuivi en disant que l'immersion dans l'eau ne privait pas le léopard de ses taches et qu'en ce qui concerne la centrale nucléaire, les taches 'all-die-be-die' sont toujours là.
Le jeudi 31 janvier 2019, les électeurs de la circonscription d'Ayawaso West Wuogon ont choisi Lydia Seyram Alhassan pour remplacer son mari, Emmanuel Kyeremanteng Agyarko, décédé aux États-Unis d'Amérique (USA).
Sa prestation de serment à la Chambre du Parlement a été gâchée par un débrayage du côté minoritaire, au milieu de l'affichage de pancartes indiquant « veuve sanglante ».
Le gouvernement a quant à lui mis en place une commission de trois membres, présidée par un ancien patron de la Commission des droits de l'homme et de la justice administrative (CHRAJ) Emile Short, pour démêler en un mois les circonstances ayant conduit aux violences.
Les autres membres de la commission présidentielle sont Henrietta Mensah Bonsu et Patrick K. Acheampong.
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